@JL. Il y a comme ça une militante impénitente que j’ai dû endurer plus de soixante ans. Militante escrologiste durant une grosse vingtaine d’années, militante misandre victimaire du début à la fin, etc. Les plus ahurissantes sornettes assénées sur un ton méprisant.
Concernant les escrologistes, je commence à être au courant que leurs connaissances en sciences naturelles sont superficielles, et que leurs mobiles sont haineux et misanthropes. Ils sont avides de dominer leurs contemporains en tout despotisme.
Autrement dit, l’escrologie est un camouflage.
Autre camouflage : bien que décrite en comédies par Plautus et par le couple Molière-Corneille, l’avarice est toujours absente du DSM. Même la perversité est absente du DSM. Il faut dire que comme ça n’intéresse pas l’industrie pharmaceutique, les rédacteurs du DSM ont toutes les excuses... Bref, connaissant l’avarice et la kleptomanie largement au delà de ce que j’eusse souhaité, pour des raisons conjugales dont je me serais bien passé, je peux garantir que les dramaturges se sont gourés, prenant la couverture pour ce qu’elle cache : on est avaricieuse voire kleptomane pour nuire à ses proches sans risques ; l’amour de l’argent n’est qu’une couverture, parfois pittoresque. Cette couverture est généralement bien acceptée socialement, et l’était bien à Rome, héritière d’une paysannerie latine en milieu dur.
C’est une règle en psychiatrie : les symptômes sont négociés, y compris avec le psychiatre.
L’escrologie de DM est un symptôme négocié, et protégé par l’entourage de DM, c’est une couverture (pour un aspirant despote).