@OMAR
Ce qui me semble en augmentation exponentielle, c’est le nombre de gens qui ont commencé à comprendre et, par conséquent, à détester l’islam.
Parmi les pays qui ont compris : la Russie avec ses Tchétchènes, la Chine avec ses Ouïgours, la Birmanie avec ses Rohingyas. Dans une moindre mesure, les Philippines, la Thaïlande et l’Angola.
Et qu’est-ce que ces pays ont compris ? Tout simplement que l’islam ne s’arrête que là où on l’arrête. Et que même lorsqu’on l’a arrêté, tant qu’il y a des mahométans dans le pays, Allah reste tapi dans la cave comme un rat à l’affût d’un moment où le chat est absent pour sortir et venir grignoter tout ce qu’il y a à grignoter.
On accuse ces pays de violer les droits de l’homme. Ils s’en foutent de l’opinion des bien pensants : ils ont compris ce qu’ils doivent faire et ils le font.
Le Japon fait encore mieux. Ce pays a des relations paisibles avec des pays comme l’Indonésie et la Malaisie et parle poliment de l’islam, mais se garde bien d’importer des mahométans en masse. Il n’y a à peu près que 0,1% de mahométans dans le pays et à ce taux, les mahométans seraient mal inspirés de s’y conduire comme des sauvages.
Il y a eu quelques petits problèmes quand même :
L’assassinat de Hitoshi Igarashi, le traducteur du livre « Les versets sataniques » de Salman Rushdie suite à une fatwa prononcée par Khomeini. Que les mollahs ne viennent pas se plaindre de l’assassinat d’un des leurs par les Américains.
La destruction des statues de Bamiyan par les Talibans. Le Japon avait contacté très discrètement les Talibans pour essayer de sauver les statues du dynamitage prévu, en invoquant le fait que l’Afghanistan avait précédé le Japon dans le bouddhisme et que ces statues étaient un symbole important pour eux. Les Talibans ont alors proposé au Japon de se convertir à l’islam, comme ça ajoutèrent-ils, l’Afghanistan leur aura aussi montré la voie vers cette religion.
Mise sous écoute systématique des lieux de prière, restaurants et magasins halal. Suite à une plainte en justice contre cette pratique, la justice japonaise a accepté de dédommager les plaintifs de nationalité japonaise tout en insistant sur le fait que ces écoutes étaient nécessaires pour assurer la sécurité de l’état.