@uzralk
Bon ben je réponds pas du coup...
Enfin si quand même un peu, oui la pensée dominante est néolibérale. Tout ce qui peut mettre en valeur l’individualisme est plébiscité. C’est même assez normal que ça plaise : le spectateur s’identifie au personnage principal des histoires, c’est donc plus facile à vendre s’il a des supers pouvoirs, ou un grand talent.
Scénario défendable : Harry Potter. Même si on peut critiquer certains aspects, le héro n’est pas un être exceptionnel. Le lecteur cherche souvent à savoir pourquoi il a survécu à Voldemort et découvrir ce qui le rend exceptionnel. En fait rien. Il n’est ni beau, ni très intelligent, ni spécialement doué en magie. Sa qualité principale c’est de jouer collectif.
À partir du tome 5, des critiques assez fortes sont proposées sur les institutions. Elles sont représentées par le ministère de la magie. On n’est pas obligé de partager ce point de vue mais il est radicalement différent de celui de Disney.
J.K Rowling (anglaise) ne défend pas la république ou la nation. Par contre elle n’est pas de le culte de l’individualisme ou de la destinée manifeste comme Disney.
Ah, et je bois du coca, mange du Nutella et regarde des Disney avec mes enfants. Vous vivez visiblement comme une attaque personnelle qu’on puisse critiquer ce que vous aimez dans la vie. Vous vous accordez remarquablement bien avec le principe de pensée unique qui va de pair avec le néolibéralisme : On a le droit de faire ce qu’on veut, il est donc interdit de critiquer !