Verdir, verdir…, On en reviendra des verts ; ces partis
d’écolos qui oublient de se comporter comme ils savent très bien prêcher aux
autres.
Le respect des règles de bon sens et de savoir-vivre par
rapport à la nature, ne sont pas l’apanage de ces partis qui derrière le mot
« vert » ou « écologiste » cachent de vrais militants
intégristes, des futurs commissaires du peuple à la « soviet » des
années 50.
Il n’y a qu’à constater comment se comportent ces ONG et
associations dites écolos, qui voudraient imposer leurs idées, en diffusant des
informations déformées, soit disant validées « scientifiquement » par
des organismes aux ordres.
Lorsqu’on fustige le CO2 comme acteur du réchauffement, et
qu’on prône en même temps l’exclusion du nucléaire exempt de rejet CO2 on n’est
pas crédible.
Le jour ou des
militants verts se seront renseignés de façon
contradictoire sur l’origine de la théorie du réchauffement climatique
anthropique, on pourra peut-être envisager un vote dans leur sens.
A l’heure actuelle, on ne peut même pas engager le dialogue
contradictoire, sans se faire traiter de climato sceptique, d’hérétique. Tout
est verrouillé dans ce domaine, par les
médias, les associations, les politiques responsables de l’environnement.
Aucune logique scientifique,
dans leurs arguments, alors même que,
lorsqu’on prend la peine de lire les documents GIEC, tout ce qui traite du réchauffement
est qualifié de « probable, très
probable, forte probabilité, pratiquement sur » etc
Rien ne peut être démontré dans ce domaine et c’est normal. L’homme
ne maîtrise pas le climat, et le CO2 n’est pas le bouton de réglage du climat.
Attention ceux qui seraient tentés de succomber au chant des
sirènes vertes risquent de vite déchanter.
http://www.science-climat-energie.be/2018/08/06/le-co2-et-le-climat-avec-et-sans-effet-de-serre/6 août 2018atmosphère et CO2, climat, effet de serreGeorges Geuskens