@Ouam
Mais ou cela est particulièrement grave (de sa part) c’est qu’il n’en à cure d’un
jugement de justice récent ou Milla a etée relaxée pour ses propos.
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Mais la vérité certains s’en foutent, l’idéologie rend aveugle et sourd.
Déroulé
de l’affaire
Mila,
une adolescente scolarisée en seconde dans un lycée de la région
lyonnaise, est passionnée par le chant. Sur son compte Instagram,
elle échange avec ses abonnés le 19 janvier, quand l’un d’eux se
met à la draguer de manière insistante. Recadré par Mila, il se
met à l’insulter, mêlant accusations de racisme et homophobie -
l’adolescente est lesbienne et affiche le drapeau LGBT sur son profil
: « sale française », « sale pute », "sale
gouine"... Les menaces prenant un caractère religieux, Mila
poste alors sur sa « story » Instagram un message dans lequel
elle rejette toutes les religions, et se fait apostropher par des
internautes qui l’accusent d’insulter "notre dieu Allah, le seul
et l’unique« en lui souhaitant de »brûler en enfer".
L’adolescente
publie à ce moment une vidéo de critique de l’islam, pour le moins
vigoureuse : "Je déteste la religion, (...) le Coran il n’y a
que de la haine là-dedans, l’islam c’est de la merde, c’est ce que
je pense. Je ne suis pas raciste, pas du tout. On ne peut pas être
raciste envers une religion. J’ai dit ce que j’en pensais, vous
n’allez pas me le faire regretter. Il y a encore des gens qui vont
s’exciter, j’en ai clairement rien à foutre, je dis ce que je veux,
ce que je pense. Votre religion, c’est de la merde, votre Dieu, je
lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir." Dans
l’extrait suivant, elle poursuit, s’adressant aux personnes qui la
prennent à partie : "Vous m’insultez et vous me menacez de
mort, vous n’êtes bons qu’à ça, vous n’avez pas d’éducation, vous
êtes nuls, vous servez à rien." Un coup de sang, certes
excessif, provoqué par le flot d’insultes que Mila recevait déjà,
et qui reste totalement légal : rappelons qu’en France, le
« blasphème » ne fait l’objet d’aucune restriction, et la
jeune femme ne s’est à aucun moment attaquée à des personnes dans
son message en raison de leur appartenance religieuse.
Infos
Marianne