Hé oui, belle analyse. Merci Lalmy.
Une fois n’est pas coutume, pour qu’une volonté politique s’engage VRAIMENT vers une supportabilité du transport, il en va comme pour tous les challenges du 21ème siècle, il faut qu’une vraie envie d’autre chose s’exprime par une masse critique de citoyens. Cela se passe en amont des décisions et des mesures.
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais j’ai l’impression que d’une manière sournoise, on ne compte pas sur les citoyens pour exprimer leurs envies et changer les choses.
Nos politiques sont à l’image de leurs citoyens. Je pense qu’on peut raisonnablement penser qu’une masse silencieuse et dormante de citoyens est terriblement résignée. Pour les plus pessimistes, cette résignation apparaît comme de l’indifférence, notion à laquelle je ne me résous pas.
Optimiste je suis, et réaliste je resterai en pensant qu’au fond de chacune et chacun d’entres nous existe une vraie envie d’un autre Monde. Cette envie est pour le moment frustration et résignation.
Un autre Monde est possible ; il est du devoir des acteurs sociaux et un peu médiatisé de faire passer un message actiogène et dynamique pour inverser la morosité culturo-éduco-médiatico ambiante.
La solution : S’approprier et transmettre le bonheur intérieur induit par l’attitude éthique.
L’individu-éthisme.
Je suis actif dans cette démarche et en retire beaucoup de satisfaction personnelle malgré une situation environnementale pas terrible.
Merci à vous.