@Ouam

Quelle logorrhée pour finalement me convaincre que vous n’avez jamais rien compris ou voulu comprendre à la teneur de mes propos.

J’aurai la charité de ne pas vous reprocher ce qui m’apparaît dans votre chef comme une grande confusion d’idées, l’esprit de synthèse se combine difficilement avec des déjections.

C’est un travers que Modératus a pour sa part évité jusqu’ici : il réserve son opprobre à ses amis « musulmans » même s’il essaye parfois fort maladroitement à mon avis d’en limiter la portée à des spécimens très particuliers qui ne fleurent pas bon l’intelligentzia mais dont il se plaît pour des raisons politiques à exagérer l’importance.

Concernant le responsable musulman qui a eu cette formulation pourtant bien élémentaire que, si on est libre en démocratie de ses jugements, on est également amené à en supporter les conséquences.

Ainsi Griveaux qui chute en raison de son imprudence – je ne parle pas de l’acte qui est personnel et privé et n’est d’ailleurs pas répréhensible
- mais de sa légèreté à se laisser filmer et à partager avec des personnes qui n’ont manifestement pas eu à son égard une attitude vraiment amicale puisqu’elles l’ont diffusé avec les dégâts que l’on sait. Il a été léger, il assume !
Ce responsable musulman n’a jamais justifié les appels au « meurtre » sinon il serait en prison, il a simplement et idiotement donné du grain à moudre à ceux qui en disposent de toute manière à foison.

De telles dérives sont de toute manière légions sur les réseaux sociaux comme ils n’étaient pas rares dans les relations entre ados en ces temps lointains où je fréquentais le collège et où l’on entendait fréquemment des «  toi, je vais te buter » sans que jamais cela ne dégénérât en tentatives réelles sinon dans de très rares cas de crapuleries. 

Mais je ne vois pas pourquoi je vous raconte cela, je n’ai aucun espoir de vous convaincre : vous êtes ancrés dans vos préventions, bouffez de l’islam(iste) du soir au matin et du matin au soir et je ne suis même pas sûr que votre sommeil n’est pas agité par vos obsessions.