@ Philippe Courmayeur
Ceci dit, je pense qu’il n’existe aucune preuve absolue de rien. Tout
est une question de probabilité. Cela ne doit pas nous empêcher d’agir.
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Nous avons fait un grand progrès, nous voilà revenus au temps des médecins de Molière : « Nous ne savons pas, mais nous allons quand même faire une saignée... »
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Quand on ne sait pas, on ne fait rien ! On ne finance pas à coups de milliards d’euros d’argent public des éoliennes, qui sont une catastrophe !
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" D’abord, les matières premières nécessaires aux éoliennes sont de véritables fléaux écologiques : les terres ou métaux rares nécessaires pour leur fabrication (entre 200 kilos et une tonne par éolienne) génèrent des déchets radioactifs et conduisent en Chine à des leucémies. Les fibres de carbone nécessaires pour les pales sont non recyclables et cancérigènes si elles sont incinérées. Les milliers de tonnes de béton des socles sont enfouies pour très longtemps. Bref, pour fabriquer les éoliennes, toutes les matières premières utilisées sont polluantes et non recyclables.
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Même le directeur de l’Ademe [Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, NDLR] a lancé l’alerte sur ce paradoxe.
Concernant les gains en termes d’émissions de gaz à effet de serre, l’intermittence des éoliennes entraîne l’utilisation d’énergie fossile (pétrole, gaz ou charbon) lorsqu’elles ne fonctionnent pas.
Or ces centrales sont particulièrement polluantes et très émettrices de carbone dans l’atmosphère.En Allemagne, malgré un effort financier considérable pour installer des éoliennes [plus de 500 milliards d’euros, NDLR], la Cour fédérale des comptes vient d’annoncer que la politique de baisse des émissions de gaz à effet de serre se soldait par un échec.
Le paradoxe, c’est tout simplement que l’augmentation du nombre d’éoliennes s’accompagne d’une augmentation des émissions de gaz à effet de serre ! Nous le constatons aussi en France....
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Rassurez-vous, tout ce pognon n’a pas été perdu pour tout le monde, juste par les gogos de contribuables...