Voici
ce que j’avais écrit en commentaires sur différents sites le 1er
mars 2017 avant les élections présidentielles :
Tenez,
je vais être bon prince, je vous donne la manière dont François Fillon pourrait
s’en sortir : En attaquant pendant toute sa campagne les juges et la
magistrature sur la question des droits de l’homme non appliqués et non
opposables en droit.
En
effet, Actuellement, toute la magistrature qui prétend juger au nom du peuple
français ne reconnaît même pas la déclaration de 1789 opposable devant les
tribunaux.
Ils
apprennent à l’école que la fameuse République nous a retiré le droit d’ester
en justice en arguant des Droits de l’homme et du préambule de la Constitution
de 1946. Les écoles de droit disent :
«
Pour autant toutes les dispositions et principes n’ont pas une valeur
exécutive, ce sont de jolies pétitions de principe qui n’ont aucune application
concrète. Des voeux pieux si vous préférez. »
alors
qu’ils devraient être défendus par la justice comme les textes que je cite nous
le rappellent.
«
L’autorité judiciaire doit demeurer indépendante pour être à même d’assurer le
respect des libertés essentielles telles qu’elles sont définies par le
préambule de la Constitution de 1946 et par la Déclaration des droits de
l’homme à laquelle il se réfère. » (loi constitutionnelle du 3 juin 1958 - 4°)
«
Le peuple français réaffirme solennellement les droits et libertés de l’homme
et du citoyen consacrés par la Déclaration des Droits de 1789 et les principes
fondamentaux reconnus par les lois de la République. » (préambule de la
Constitution de 1946 )
«
Afin que cette déclaration constamment présente à tous les membres du corps
social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les
actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif... » (préamb
Déclaration 1789)
Et
il fera œuvre utile (pour les PV par exemple, mais aussi pour les impôts) car
ça servira grandement au peuple qui va pouvoir taper sur les juges à bras
raccourcis. La République ne nous défendant plus sera remplacée par une
monarchie.