Bonne sensibilisation aux problèmes des « adjuvants » comme l’aluminium mais aussi le dioxyde de titane maintenant (TiO2, E171 je crois) et tous les perturbateurs endocriniens qui permettent de comprendre qu’on nous empoisonne. L’ironie du sort provient de la bonne foi du secteur médical conventionnel et de la stratégie allopathique (chimique doit-on dire) des soins préconisés.
Comme dans d’autres domaines de la société (politique, économie...) les connaissances de la science rationnelle sont trop présentes et en médecine, c’est tout simplement l’idée que « le corps humain est une machine », rien de plus. Cette erreur persiste et néglige la part « énergétique » (le xhi et le prana pour la médecine orientale), « psychologique » d’un individu. Avec l’utilisation de la chimie de synthèse, la fabrication de molécules complexes et les valeurs numériques qui déterminent des seuils de « fonctions remèdes » ou « fonctions poisons » en connivence avec les labos pharmaceutiques et les histoires de gros sous, c’est le bordel ! Et je le constate en responsabilité dans un collège/lycée avec la multiplication des dossiers de TDAH, leucémie, troubles autistiques... qui révèlent proportionnellement à chaque classe d’âge une perturbation très nette des corps physiques, émotionnels et mentaux de nos enfants.
Vaccins, matières plastiques, produits nettoyants, tous les produits manufacturés portent « l’empreinte de la bête » celle qui marque du sceau des profits financiers les choix stratégiques mais surtout parce que l’occident n’a pas encore compris (trop d’orgueil) qu’il doit apprendre davantage de la médecine orientale (corps énergétique, interdépendance énergétique avec la nature...) pour l’adapter aux méthodes scientifiques actuelles. Je pense que c’est une des solutions prédominantes dans le faisceau des changements que notre société doit engager sans trop tarder.