@merthin,
Ok. Puisque vous dérivez. Voila la réponse :
Charles Darwin était un observateur hors du commun, mais déchiré entre la véracité de ses découvertes et les conséquences potentielles qu’elles entrainent dans la société de l’époque. Richard Dawkins démontre que « Dieu est très peu probable, inutile et nuisible » puisque l’être humain est un animal comme les autres. On estime qu’il y aurait 100 millions de sortes de virus bactériophages. Ils modifient activement la génétique d’autres espèces en étant la force motrice de l’évolution et en parasitant les cellules hôtes dont ils utilisent les constituants pour se multiplier. Une course à la reproduction et à l’armement biologique commence dès qu’il a infecté son hôte. S’il la gagne, il tue son hôte et se dissémine vers d’autres organismes, parfois mutants, avec des performances propres réactualisées. La sentimentalité n’existe pas. Les vaccins sont les armes les mieux adaptés pour les êtres vivants tandis que l’efficacité des antibiotiques s’adaptent plus aux bactéries. La compréhension du rôle génétique des virus n’a pas été comprise par Charles Darwin pour appuyer sa thèse. Les espèces vivantes et les gènes doivent sans cesse se modifier et se complexifier de génération en génération pour garder une longueur d’avance sur leurs parasites. Les virus seraient là pour accélérer l’évolution en éliminant les moins résistants. 90% des gènes sont eux-mêmes d’origine virale. S’il y a un Dieu, il a probablement un jour été un virus et a dû se sacrifier pour le groupe des vivants. La boucle semble ainsi bouclée entre croyants et mécréants mais pour le scientifique, il lui faut toujours le prouver en attendant, sans sauter des étapes et sans transmettre des vérités qui ne seraient que des billevesées et mêmes des mensonges sans analyse et sans des tests de validation. Pour un croyant, c’est toujours dieu qui a créé l’homme à son image alors que réfléchissons, c’est plutôt l’inverse.