HAaaa !... Ca faisait longtemps qu’on avait pas eu une séance de pleurniche féministe.
Sur le fait que le mariage bénéficie aux hommes, c’est évidemment faux. Je renvoie l’auteur à la lecture d’un livre qu’elle affirmera faux car elle n’aimera pas ce qu’il y est dit : « La police des familles » de Jacques Donzelot (éd. de Minuit). Le mariage a été littéralement imposé de force aux hommes dès le XIXème siècle par les sociétés philanthropiques bourgeoises parce que le patronat avait remarqué que les hommes mariés faisaient moins grève. Ils ont donc été l’objet de chantages divers et variés pour se marier. Ce qui, au passage, montre la puissance des femmes (fait totalement nié par la pleurniche féministe).
Je lis cette phrase :
« Ce sont les femmes qui abandonnent leur carrière pour que leur conjoint puisse se consacrer pleinement à la sienne. »
Quelles sont les sources ? Car quand on fait un commentaire sexiste comme ça, il faut sourcer, c’est la moindre des choses...
Bon après, c’est l’habituelle pleurniche sur les femmes qui se sacrifient, etc., tout ça est complètement faux et sexiste. Il suffit de regarder autour de nous.
Allez, pour terminer, parce que je ne vais pas passer la vie sur ces débilités, je lis ça :
"Des recherches ont en effet montré que les « bénéfices du mariage » (en
termes de bonheur, de finances et de santé mentale) allaient tout particulièrement aux hommes. "
Whaou ! jstor.org ! (seuls les universitaires comprendront). Ca me rappelle ça. Et puis j’ai lu pas mal de littérature féministe universitaire, et bien tout simplement, ce n’est pas de la bonne littérature. Erreurs de logique de partout, sources litigieuses, etc. Mais comme le féminisme a le vent en poupe puisqu’il sert les intérêts du pouvoir bourgeois, inutile d’être sérieuses, des études menées à la va-vite suffisent !
Et bon vent !
PS : quand même : le monde est en train de s’écrouler et on a encore toute une partie de la population qui perd son temps avec des bêtises de ce type... En quête de leur petit confort de névrosées embourgeoisées.