@nono le simplet
J’interviens là, nono, mais c’est pour cette suite de commentaires.
Ce qui me vient, c’est que notre système de prise en charge, et de santé, a été particulièrement touché ces dernières années, disons depuis qu’un certain Sarkozy a enclenché une dominance ultra libérale en notre pays.
Notre problème actuel, c’est la désorganisation ( et c’est gentil comme constat) de notre système de santé.
Nous avons été depuis longtemps dépossédés de nous mêmes en ce qui concerne notre santé : dépendance absolue du toubib et de l’institution. Depuis peu, on nous ôte cette « protection » sur laquelle compte quiconque est dépossédé de sa propre prise en charge ( je parle d’un point de vue général, pas de ce virus en particulier).
On dépossède, puis on ôte ce qui permettait cette dépossession !
C’est le bordel, en Italie, pareil. Espagne, Portugal, personne n’en parle, en tout cas pas assez fort pour que j’entende ; en revanche, l’Italie, repoussoir, anime notre peur !
Et l’Allemagne ? Peu d’infos, je demande à m’instruire auprès de ma propre famille, j’en saurai plus bientôt, mais déjà : pas de confinement, pas de panique instaurée par un gouvernement incompétent et des médias aux ordres ; il semble que « ce soit moins grave ».
Donc, faisons, en conscience et calmement, le bilan de la situation : virus, maladie, réactions, létalité, morbidité, accueil, politique générale, bref, tout ce qui concourt à notre situation actuelle.
Et levons le pied du stress, de la panique et autres suspicions !
On fait ce qu’on a à faire : on se protège, on protège nos proches ; on communique, et on insiste sur la distraction et l’ancrage de nos racines en terre, pour désamorcer un état de guerre civile que notre con de gouvernement avec ses lois iniques, attise.