Depuis la conférence du ministre de la santé les choses sont plus
claires. Le confinement est une maneuvre d’attente pour voir arriver
d’abord les masques, puis les néo-tests qui seront l’arme d’attaque
principale contre la pandémie, la chloroquine venant en second pour
traiter rapidement tous les cas positifs. Sachant que si celle-ci évite les complications, elle ne les traite pas.
C’est donc une variante de la stratégie allemande (44 morts le 20/3
contre 371 en France), boostée par la chloroquine qui va être adoptée.
Près d’un millier de décès clôtureront alors le bilan des
divagations de l’armée mexicaine de Macron. Avec des épisodes
qu’on aura du mal à comparer avec Autsterlitz :
-La pénurie de masques !
-la pénurie de tests !
-l’essai thérapeutique, européen s’il vous plaît, imposé à un
médicament, vieux de 70 ans, présent dans toutes les pharmacies, ostracisé car repéré
par un « professeur Tournesol » de Marseille, avant de l’engager sur le
front de conv-19.
-La comédie du confinement généralisé, comédie qui aboutit à confiner sans doutes autant d’indemnes que de contaminants. Et ce, sans tester pour éloigner les uns des autres. Comédie qui, au final, coûtera la peau des fesses, et qui va être abandonnée en rase campagne d’ici quelques jours.
Evidemment, ils seront innombrables ceux qui pleureront sur les
milliards envolés, les « quoi que çà coûte » qui inventeront alors des
recettes à la Matusalem pour que les survivants passent à la caisse avec
assez de pommade pour éviter un autre épisode type « gilet jaune » ou
« retraite »...