@rita
D’où
le message clair et insistant de Marseille : si la prescription
d’hydroxychloroquine permet de prévenir ce risque d’aggravation,
quel sens macabre peut-il bien être que celui de ne surtout rien
faire en préférant attendre qu’il soit trop tard ?!
Les
tenants de l’approche absurde qui prévaut mettent en avant
l’incertitude qui règne encore quant à l’effet de ces
substances, et le nombre à ce stade insuffisant de données
disponibles, issues d’essais cliniques, pour en tirer des
conclusions définitives. Ce qui est techniquement
exact,
mais médicalement
faux
et humainement
monstrueux.
Attendre
qu’il y ait des centaines de morts supplémentaires, tout en
laissant les malheureuses équipes soignantes, démunies de tout (y
compris des moyens de leur propre protection), galérer au front en
prenant des risques insensés, voilà ce que le gouvernement français
et les curieux aréopages d’experts qui le conseillent osent
préconiser au nom de la pureté scientifique. Des directives sont
même venues dissuader les médecins de ville de prescrire de
l’hydroxychloroquine à leurs patients Covid+.
Banana
Republic – Minister of Propaganda
La
propagande gouvernementale a mobilisé deux grands fétiches pour
justifier l’indéfendable : la « validité
scientifique » d’une part et de l’autre la soi-disante
« toxicité » de l’hydroxychloroquine.
Sur
cette dernière question, souvent évoquée, rappelons que les
chercheurs de Marseille sont les meilleurs connaisseurs actuels au
monde de l’utilisation de cette molécule contre les virus