@rita
En
tous cas merci pour votre billet sur votre blog
Cordialement
Voyez
comme c’est beau : au lieu de tirer profit du champion d’Europe
qu’elle a sur son territoire, le gouvernement français conteste en
dépit du bon sens et de toute pertinence scientifique les
découvertes heureuses de l’IHU Méditerranée-Infection. Il met en
échec l’utilisation d’un traitement extrêmement sûr qui
pourrait sauver des centaines voire des milliers de vie. Il diffuse
massivement une information fallacieuse et anxiogène sur le
traitement. Il fait monter au créneau des porte-parole (médecins et
chercheurs) qui jouent en comparaison dans l’équivalent des ligues
de campagne et colportent en boucle les mêmes propos baveux.
Puis,
il monte et cautionne un projet de recherche scélérat qui, s’il
est appliqué tel quel, montrera l’inefficacité de
l’hydroxychloroquine en veillant à que le médicament ait été
prescrit
uniquement à des gens pour qui c’était déjà trop tard.
Vers
une insurrection des consciences ?
Heureusement,
un vent de colère se lève. C’est en effet peu dire que les
décisions iniques du gouvernement français ne suscitent pas
l’unanimité. En privant les Français infectés de la possibilité
de se soigner (et donc en assurant par-là de nouvelles pertes), en
enjoignant les médecins de ville à renoncer à prescrire le seul
traitement utile dont on dispose face au Covid, le ministère de la
santé tente aussi d’écraser sous sa botte la liberté de
prescription inaliénable de tout médecin -excusez du peu !
L’Association
des Médecins Urgentistes de France (spécialité particulièrement
exposée aux risques du Covid et qui lui a déjà payé un lourd
tribut dans les pays les plus touchés) a annoncé ce matin la mort
de l’un d’entre eux, et lancé
le solennel appel suivant :