@velosolex
Le
front est devenu insidieux, étrange. Nous pénétrons tous les
secrets des cieux, et
de la contagion, de la force virale qui s’épuise au bout d’un
certain temps, des avis émis par des sommités en blouse blanche qui
s’écharpent sur l’intérêt de tel ou tel traitement..
Des
débats insipides qui ont pris la place, et
c’est bien regrettable,
des commentaires sportifs, s’écharpant sur les mérites de leurs
champions, dans cette pèriode pas si lontaine, qu’on pourrait appeler « la drôle de guerre » , avant que le chef de l’état n’ait des mots plus définitifs. .
Les
engrenages
de l’âme humaine restent toujours
les mêmes, quel que soit le sujet.
Une mécanique souvent aussi
simple qu’un
dérailleur de vélo, changeant de braquet en rapport à la pente qui
se profile.
marchant avec les bénéfices attendus d’une action, à très court
terme, et tournés vers l’intérêt individuel, au mieux celui de
la famille et du clan.
En
langage cycliste qui fait plus court, ça veut dire qu’on a trop
foncé la tête dans le guidon, sans regarder ce qui se passait sur
le bas coté. On aurait pu s’arrêter de vouloir suivre le train,
et s’asseoir dans l’herbe, à boire un coup avec
les spectateurs, inventer une nouvelle parité avec eux, et
se demander même si c’était raisonnable, de vouloir toujours
vouloir aller plus vite que l’autre.
Je vais tacher de tirer les rallonges, d’appuyer sur les pédales et d’en faire un article.