Le confinement
généralisé sert à camoufler l’incurie d’un petit banquier qui
est obligé de se cacher derrière une myriade de pseudo médecins et de journalistes
crétins, plus cons les uns que les autres, que l’on retrouve tous
les jours sur des chaînes de tv partisanes de donneurs de leçons qui se font passer pour des spécialistes de la médecine et s’autorisent
à juger l’audace du professeur Raoult qui a osé se sortir les doigts du cul et a bravé les règles des biens pensant spécialistes de la connerie pour devancer toutes ces
couilles molles de la médecine traditionnelle incapables de prendre
une initiative de peur d’écorner le sacré saint serment
d’Hippocrate.
Quant au traçage
parlons-en. C’est un procédé inutile, dangereux et la porte
ouverte à la délation qui risque de se transformer en règlements
de comptes pouvant aller jusqu’au meurtre.
Imaginez quelques
dégénérés se baladant leurs smartphones à la main branchés sur
le traçage en direct qui s’aperçoivent que des contaminé(e)s sont
proches d’eux. Ces personnes pourraient alors dans un élan de
démence s’attaquer aux personnes contaminées et les tuer.
Il suffit de
regarder les comportements des imbéciles écervelés, qui, sans vergogne, font
des réflexions verbales et/ou écrites en direction des personnels
de santé (infirmières médecins etc...) des pompiers, des ambulanciers les faisant passer pour des
vecteurs de virus laissant des petits mots sur leur pare brise pour
les faire déguerpir de leurs logements voire carrément de leur
demander de ne pas garer leurs véhicules près de ceux des résidents.
Ou encore ce cas,
comme cela s’est vu dans une caserne de gendarmerie.
Sophie, infirmière
et considérée comme personne « à risques », s’est vue
forcée de quitter la caserne où elle vivait avec son conjoint,
gendarme en Lorraine. source : AFP 11 avril 2020.
Jadis, au moment de
la découverte du sida les discriminations envers
les homosexuel(les) avaient bondi de plus de 300 % à l’époque le traçage n’existait pas encore.