"Revenons vers Macron.
Macron, d’après le Canard enchaîné, et s’il sait lire, était parfaitement au courant de l’arrivée de l’épidémie.
Dans un premier temps, il attend pour confiner. Il attend, contrairement à la Chine. Les morts deviennent de plus en plus nombreux. La psychose s’étend. Quand il confine, rien n’est fait pour rassurer. Le seul qui veut rassurer, dès le 25 février, le docteur Raoult est traité de fake par un des pontes des réseaux non sociaux : « Le Monde ». Macron met sur pied une police des rues effrayantes.
On pourrait dire qu’Il fait tout pour qu’il y ait un maximum de morts. Pas de masques, pas de tests, pas de respirateurs. Comme s’il voulait se venger de ce pays rebelle."
Si ce président ainsi que son gouvernement
sont le virus, l’épisode des gilets jaunes qui a duré un an et demi a
proposé à toute la France et à Paris la rebelle de se débarrasser de ces
imposteurs, de les chasser du pouvoir. Ils ont imaginé une république plus
citoyenne, voire une 6ème république, une démocratie plus directe en commençant
par le RIC et le tirage au sort de volontaires pour contrôler les institutions.
Que n’ont-ils pas été entendus avec le vacarme qu’ils ont fait ! Paris la
rebelle assiégée par la province samedi après samedi ! Mais Paris claquemurée
derrière ses égoïsmes, sa lâcheté ! Paris ! Rebelle d’un jour, bourgeoise
toujours ! Or cette révolte a mise en lumière la violence du virus Macron
et sa contagion des sphères régaliennes (politiciens, technocrates banquiers,
journalistes etc..). Son mépris absolu du peuple en général, sa volonté de
briser ce qui fait sa spécificité, son obsession à le mettre au pas. Nous étions
donc prévenus de son endurance à profiter de toutes les opportunités pour nuire
à notre devise, liberté égalité fraternité, qui s’oppose globalement aux intérêts
de la classe à laquelle il appartient. Nous avons beaucoup parlé et pas agi !
La France ne s’est pas soulevée ! Chacun a encore trop à perdre, roué pour
son petit confort ! Et attend de l’autre qu’il prenne les risques à sa
place. L’occasion était belle, le bonheur était dans le pré, c’est trop tard il
a filé !