@François Vesin
Mais ils sont tous maastrichiens !!!
Ce que De Gaulle pouvait envisager avec des patriotes de tous bords
le peuple de France ne peut même pas l’espérer de ces cohortes d’idiots
capables de « réfléchir » à propos du tracking comme si c’était à propos !!
.
On réfléchit ici sur Asselineau : a-t-il confondu sa bite et son couteau ?
Retenons de lui qu’il aura posé les bonnes questions et qu’il avait raison.
Oui Macron n’est qu’un pion, oui nous ne sommes plus maîtres de rien,
oui nous sommes enfermés et ils ont le pouvoir, la milice et le fric pour
faire face à toutes opportunités...sauf une : nous ne sommes pas tous morts !!
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Vous avez raison, nous ne somme pas tous morts, et revenir à l’idée de l’Europe que de Gaulle s’en faisait n’est pas absurde et je pense sera comprise par les français.
une Europe de nations et surement à plusieurs vitesses.
"Cependant, la
conception que le général de Gaulle se fait de la
construction de l’Europe est confédérale : celle d’une
Europe des nations, qui y conserveraient leur souveraineté. La
progressive mise en place du modèle fonctionnaliste de Jean
Monnet (mettre en place une Europe supra-nationale par
l’intégration économique, stratégie déployée à partir de la
déclaration Schuman de 1951 et de la mise en place de la Communauté
européenne du Charbon et de l’Acier) rencontre son hostilité :
opposé à la CED, le Général n’est pas non plus
favorable aux traités de Rome, instituant notamment la CEE, que
les leaders gaullistes au parlement combattent.
http://www.charles-de-gaulle.org/lhomme/dossiers-thematiques/de-gaulle-europe/
Tout d’abord, il plaide
pour une Europe réduite (six pays, France, Allemagne, Italie,
Bénélux) et indépendante des Blocs. A deux reprises, il met
son veto à la candidature anglaise au Marché commun (1963 et 1967),
en partie parce qu’il y voit le « Cheval de Troie » des
Etats-Unis. D’autre part, et c’est là son principal combat, il
plaide auprès de ses partenaires pour une Europe des Nations au sein
de laquelle la part de supranationalité serait limitée : c’est
le sens du traité de l’Elysée (20 janvier 1963),"