@Bernard Dugué
Ok, Kaufman démontre que ce qui est identifié comme le virus SRAS ne répond pas à la définition d’un virus, suivant les postulats de Koch.
Donc son petit-fils le covid 19 en serait un ?
D’après Kaufman, les virus ne seraient que la réponse immunitaire d’exozomes produits par des cellules intoxiquées ou sous condition de stress, voire carencées.
Sachant que seuls 15% des études médicales sont reproductibles, que la pharmacopée est un énorme business, il est difficile d’avoir le coeur net.
Sachant que virus et vaccin ont été inventé bien avant de pouvoir les observer, que les exozomes, frères jumeaux troublants des virus n’ont été observés qu’en 1983, qu’un virus ne se reproduit pas tout seul, je suis enclin à avancer la thèse de Kaufman.
Quand bien même l’ordre des archées existerait , un symbiote aurait très peu de chance de se répliquer chez un individu non intoxiqué, non stressé, non carencé.
Sans pouvoir avoir le coeur net, et être aussi radical que n’affirmer qu’un virus du hiv est une réponse immunitaire détraquée d’un homosexuel sous poppers comme la fait Peter Duesberg, il a été décrié par la communauté scientifique dans Science (cd wikipedia). Sauf que l’article en question n’existe plus.
Quoiqu’il en soit, un protocole permettant de différencier exozome et virus devrait être fourni par les scientifiques. A l’heure actuelle, je n’en trouve pas.
Pour l’instant, je m’en tiendrais à cette définition : un virus est un exozome d’une autre espèce.
Lorsque le point de vue réductionniste que vous incarnez et l’approche holistique de Kaufman seront d’accord, le doute n’étant plus permis, la politique pourrait être décideur de santé publique à ce sujet. Nous en sommes loin.