Bonjour Normand,
« pour se créer une niche confortable »
ce que vous ne décrivez pas dans ce second modèle, c’est que tout un chacun qui a un peu de pouvoir « coopère » en préservant ce pouvoir (un poste dans une structure, une fonction qui lui assure un revenu, une présence à manifester, etc). D’où la pagaille apparente qui se manifeste en surface de ces turbulences en profondeur.
Peut-être pour vous il y a là place pour « un des grands plaisirs de la vie », mais beaucoup d’autres qui n’ont aucun pouvoir, ou pire ceux qui ont quelques idées intéressantes pour tous à leurs yeux mais qui les voient étouffées par tous ces intermédiaires qui jonglent dans le sens de leurs intérêts, croyez-vous qu’il y ait pour eux dans cette pagaille la place pour « un des grands plaisirs de la vie » ?
Désolé, mais j’ai lu le reste en diagonale vu le diagnostic de départ. Et je suis bien trop frustre dans ces domaines par exemple pour dire si le GIEC a tord ou raison. Ce que je constate par contre, c’est l’énorme gaspillage de production alimentaire (et paradoxalement l’étouffement des producteurs africains), c’est la soif de consommation que déclenche le radiateur de la publicité, c’est les bull shit jobs, etc.
Libérer la parole ok, mais que faites vous avec les gugusses dont je parle au-dessus ? Ne vont-ils pas vous mettre des bâtons dans les roues ? Comme pour les gilets jaunes ?