Cette affaire ne m’intéresse pas trop dans la forme présentée par l’article.
La question qu’il faut se poser est : Qu’est qui amène à étouffer l’idée d’une sortie volontaire de l’UE et de l’Euro ?
En France la situation politique paraissait verrouillée avec la marionnette du système Macron, l’inexistence de la droite ancienne (LR), l’opposition complice des insoumis, de Marine Le Pen et la montée de l’ « écologie politique » qui est le véritable pilier théorique et pratique du néo libéralisme.
L’Allemagne profitait au maximum de l’UE pour l’exploitation des autres pays, y compris par l’achat des terres, en Roumanie, du patrimoine comme les ports et aéroports grecs …
Mais les choses ont commencé à mal tourner pour l’Allemagne d’abord à cause de son engagement imbécile dans l’ « energiewende », et puis avec la montée commerciale et technologique de la Chine.. Au plan politique l’Allemagne maintenait un équilibre fragile entre ses intérêts, notamment les relations avec la Russie, et sa vassalisation par les USA.
Mais là nous sommes à un tournant parce que les pays latins de l’UE sont en faillite, les règles monétaires de l’UE ont volé en éclat, et que pour maintenir l’UE dans son état antérieur il faudrait que l’Allemagne paie, ce qu’elle ne veut pas faire.
La France est devant le choix d’une vassalisation ou bien de s’engager dans la voie de l’indépendance. Certainement avec des alliances repensées avec les autres pays latins, une ouverture vers la Russie, l’Iran…
Macron, avec les décrets sur l’arrêt de 14 réacteurs nucléaires supplémentaires et le doublement de la puissance théorique fictive de l’éolien en France, ce qui représente des dépenses et manques à gagner de plusieurs centaines de milliards d’euros (exactement ce qui a plombé l’économie allemande) sans retombées économiques et avec la destruction de dizaines de milliers d’emplois, nous a engagé dans le premier choix mortel. Pour cela il peut compter sur l’aide active de l’ « écologie politique » et la complicité des autres partis politiques principaux.