@arcsine
...Il fait contraste avec le lamentable unanimisme de la quasi-totalité de la presse et des médias télévisuels,

Les médias sont tous contraints de suivre la bonne ligne éditoriale... En plus des journalistes et « des experts en rien », persuadés de ce qu’ils disent, il y a ceux qui ont une famille à nourrir ...
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— Les médias privés sont quasiment tous la propriété de milliardaires. Leurs journalistes peuvent penser ce qu’ils veulent, mais ils doivent dire ce qui convient aux intérêts du boss. Sinon, 10 journalistes attendent derrière la porte, et c’est Paul Lemploi....
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— Les médias publics sont dépendants de manière plus ou moins importante, des annonceurs publicitaires, liés aux entreprises qui payent pour la pub. Dire des choses qui contrarient les annonceurs & les patrons, c’est prendre le risque de voir sucré le contrat de pub....
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Donc, silence radio, silence télé, Radio Londres est devenu RadioParisMent.... !
Pour s’informer, il faut aller sur Internet et les médias alternatifs....

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Histoire de régler ses comptes aux médias presstitués, Didier Raoult explique qu’il faut s’informer sur Youtube !!

"Depuis le début de l’épidémie de coronavirus, la crise sanitaire est doublée d’une crise médiatique. C’est en tout cas ce qu’affirme Didier Raoult dans un entretien avec la chaîne de télévision i24NEWS. Fréquemment attaqué pour ses positions anticonformistes et son soutien de la chloroquine, le désormais célèbre professeur marseillais ne croit plus dans les médias traditionnels et leur préfère les médias alternatifs ou les réseaux sociaux. « Les médias traditionnels sont en train de rentrer en conflit frontal avec les réseaux sociaux », estime-t-il. ..etc
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PS : Liens entre la presse et les milieux industriels & financiers : « Les nouveaux chiens de garde », par Serge Halimi, ça date de 2005, mais je le trouve toujours d’actualité !!
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" Quel point commun y a-t-il, selon Serge Halimi, entre Michel Field, Claire Chazal, Alain Duhamel, Jean-Marie Cavada et PPDA ? La même révérence devant leur patron, les grands groupes tels Bouygues, Havas ou Matra-Hachette, la même révérence devant l’argent et le pouvoir politico-industriel, les mêmes pratiques. Maintenir à distance certains sujets pour mieux en matraquer d’autres, désinformer, moins par volonté de manipuler que par paresse et par reddition devant l’idéologie néolibérale dominante, c’est le credo des nouveaux chiens de garde. La collusion entre les intérêts des propriétaires de la presse française et le trust des trente journalistes qui en tiennent les rênes à coup de présence incessante, d’info-marchandise, de renvois d’ascenseurs et flagorneries de courtisans, sape l’indépendance des journalistes, fragilisés par la crainte du chômage. "Des médias de plus en plus présents, des journalistes de plus en plus dociles, une information de plus en plus médiocre", une sentence qui résume bien l’esprit de l’auteur qui, avec les résistants contre la pensée unique, hier Paul Nizan, aujourd’hui Chomsky, signe un plaidoyer lapidaire pour la dissidence intellectuelle. —