@l’auteur
Alors que l’épidémie est terminée, et le risque sanitaire
absent, les mesures drastiques
continuent d’être appliquées sans commune mesure avec le risque devenu infime.
Exemple, l’obligation du port du masque dans les transports publiques sous
chargés, alors qu’en début d’année au plus fort de la grippe annuelle, nous
n’en trouvions pas, violations
continuelles maintenant de la loi
du 11
octobre 2010 qui a interdit le port d’une « tenue destinée à
dissimuler son visage, en premier lieu par la police, les nervis macronistes
des commerces ouvert au public arrivant en dernière position
Depuis la
jurisprudence Castaner bien qu’il “Il n’y a pas de violences policières”, un spectre hante
les couloirs de Beauvau, celui d’un mensonge trop gros pour ne pas être
grotesque. Reconnaître ces violences et leur dimension raciste est pourtant
décisif pour retrouver la confiance de la population.
Pendant le
confinement, ces violences ont largement perduré. Elles sont généralement
suivies de commentaires à peine susurrés par des autorités qui ne manquent pas
une occasion de minimiser le problème. Pourquoi ?
Alors que la crise économique issue de la crise financière qui vient
s’annonce ravageuse pour des pans entiers de notre économie, et plus largement
pour le pays dans son ensemble, du bien-être de sa population à sa place dans
le concert des nations, on reste consterné devant le niveau des mesures
pour y faire face et les moyens d’en sortir.
Le président désigné
par les merdias et la finance, lui-même a visiblement décidé d’orchestrer ce
que les commentateurs politiques à la botte baptisent déjà du ronflant titre d’« acte III
du quinquennat » (après trois ou quatre actes II) et qu’il nous promet
tourné vers cet impératif d’indépendance.
Bref, conforme à ce que réclament
depuis déjà quelques décennies les citoyens français pour cesser d’être soumis
au bon vouloir de puissances impérialistes, des multinationales adeptes de l’optimisation
fiscale et de fonds vautours spécialistes du pillage de l’outil industriel
La colère
des citoyens gronde en sourdine.
Elle n’est pas - pour l’heure - une rage
aveugle. Elle attend des actes qui l’apaiseront.
Des perspectives nouvelles.
Une idée de ce que doit être la France., sinon ce sera la révolution !