Il n’y pas
besoin de compter ceux qui portent des masques ou pas. A paris en tout cas, il
n’y a plus que ça, un peu moins aux terrasses de café quand même.
Ce qui était
recommandé au départ est devenu presque partout obligatoire. Même dans les
endroits où cela n’a aucun sens.
Cela
signifie-il que presque l’ensemble des parisiens sont des personnes avec des
risques de comorbidité ? Si oui, comment faisaient-elle avant le
COVID quand elles avaient des pathologies autrement plus mortelles comme
un cancer ? Elles se confinaient systématiquement chez elles et portaient aussi
un masque ? Elles ne respectaient pas les gestes barrières, c’est-à-dire une distance raisonnable
entre-elles pour ne pas envahir l’espace de l’autre ? Elles ne se lavaient
pas non plus les mains ? Elles se postillonnaient copieusement dessus en
discutant ? Eternuaient à la face des autres sans vergogne ?
Tous ceux
qui avaient une simple grippe ne sont quand même pas passés au syndrome de
détresse respiratoire aigu !
Aucune
guérison ? L’hôpital dès que les urgences ont été saturés-merci la
psychose créée puis entretenue par Macron et les media-a renvoyé les patients
qui ne présentaient pas de symptômes sévères chez eux pour se soigner. Ceux qui
avaient des symptômes plus graves mais ne nécessitant pas d’hospitalisation ont
eu peur de consulter leur médecin traitant, alors qu’ils l’auraient fait en
temps « normal ».
Ce
confinement se solde par une plus grande vulnérabilité des personnes déjà
fragilisées socialement et économiquement, des malades qui n’ont pas pu se
faire soigner et des masques qui ne semblent pas prêts de tomber.