@Decouz
Mais l’animal se décline sous des formes justement et des morphologies spécialisées adaptées à leur environnement, ...Et infinies si on peut dire : Du ver de terre à l’éléphant, en passant par le poisson et l’oiseau...Alors que l’humain est conçu à l’identique : Debout, à la verticale, deux bras, deux jambes, un tronc, un cou et une tête.
Il n’est pas spécialisé , c’est avec son intellect qu’il crée des outils spécialisés qui lui permettent d’accomplir des tâches et de bâtir.
Et il a sa conscience de son moi ainsi qu une propension au religieux et à la superstition....Etc..
Que nous ayons des points communs avec les animaux, certes, mais que nous perdions le sens, l’interêt de la compréhension de notre humanité, au point de se prendre pour des animaux et de s’y comparer pour tenter de nous comprendre nous même au travers de ce prisme, ce n’est que de la théorie spéculative,
Pour ce qui est de la programmation...Pour que l’humain devienne humain, se détache (ou détache de lui) de l’animalité, c’est peut être qu’il est « programmé » ainsi, et qu’il aura fallu toute l’évolution qu’à mis magistralement Darwin au clair, pour que l’on arrive il y a des millions d’années (avant mm Lucy) à un « Ecce Homo » ...Perfectible, lui, alors que les animaux sont déja « parfaits »
Bon, sinon, pour moi, il y a l’humain, pas de races, mais ce n’est pas important, j’emploie aussi bien ce terme quand je m’agace « sale race », mais ça peut s’adresser à n’importe qui, c’est une expression.
Et bien entendue que nous avons des différences ethnique parfois très marquées, , si le discours « anti race » à la mode en ce moment veux nous faire croire qu’il n’est pas tendancieux, hypocrite, néfaste clivant ...Au point de vouloir déboulonner le grand Colbert.
Bientôt les féministe voudront la peau d’Aristote