La pandémie n’aurait pas eu lieu si on avait fermé les frontières, comme Taiwan l’a fait, elle qui n’est pas membre de L’OMS, sous pression de la chine...
On ne l’a pas fait car covid est personne no grata pour l’économie , et la manne touristique. Les pays les plus touchés, ont été les destinations les plus touristiques du monde, qui sont restés apragmatiques, ne voulant pas contrarier les sacro saint intérêts.
Jusqu’à lors tout va bien de nouveau. Les trajectoires font raisonnablement penser que ce virus ne serait plus un problème ; seulement se profile l’été, c’est à dire de nouveau l’addiction à la manne touristique, une addiction de drogué, qui risque de faire replonger le patient presque guéri, après avoir juré quand il était sur le carreau, quand ne le reprendrait pas….
On a imposé la fin de l’école, avec les problèmes qui en résulteront, en mettant en avant des phobies souvent fantasmatiques, on s’interroge sur la possibilité d’une rentrée complète en septembre, et sans vergogne, on envisage de rouvrir les frontières mi juin, sans concertation. ….Au Texas, l’épidémie repart. Au Brésil, elle flambe. Bien sûr pour le moment il n’est question que de s’ouvrir à l’espace européen, mais ce meelting pot qui en résultera, en Grèce par exemple, qui a des fourmis dans les jambes est tout à fait irrationnel, quand on sait d’où l’on vient.
Voilà la génèse de la deuxième vague.