@Séraphin Lampion
La psychologie collective existe, et les manipulateurs
transnationaux en usent et en abusent.
Ils ont réussi à plonger une partie de la population
mondiale dans un état de sidération en lui assénant un traumatisme psychique équivalent
à une attaque à main armée qui, par sa violence et sa soudaineté, a entraîné un
afflux d’excitation suffisant pour mettre en échec ses mécanismes de défense
habituellement efficaces. Ce mécanisme risque en effet d’entraîner à plus ou
moins long terme une désorganisation dans l’économie psychique des populations,
et c’était bien le but recherché pour imposer des méthodes renforcées de contrôle
social de traçage et de délation parallèlement à la suppression pure et simple
de droits élémentaires tels que celui de
rencontrer qui on veut quand on veut.
La sidération agit comme un arrêt du temps qui fige la
personne dans une blessure psychologique traumatique, au point que les émotions
semblent pratiquement absentes, l’enferment dans un sentiment de culpabilité,
le silence et l’incapacité de formuler la sensation d’épouvante qu’elle éprouve.
Ce choc psychologique réactualise la plupart du temps une
blessure ancienne liée à l’enfance, ce qui conduit les victimes à développer le
syndrome Stockholm et à protéger leur bourreau.
A l’échelon individuel, l’état de stress qui suit la
sidération peut durer plusieurs heures pendant lesquelles la verbalisation est
souvent difficile, voire impossible. La victime se trouve alors dans un
comportement de repli sur soi avec des pleurs et de l’angoisse, pouvant aller
jusqu’à des tremblements ou des vomissements. Elle souffre d’une culpabilité
omniprésente, avec une impression de souillure pas toujours spontanée mais
conséquente, et un sentiment de honte.
La suite des évènements sera une indication sur la durée du
stress qui suivra cette agression menée à un échelon collectif d’une ampleur
inédite.