Pour revenir sur les hlm parait il boudés par les autochtones, il suffit pour se convaincre du contraire de consulter les archives INA sur le tube ;)
Dans les bidonvilles des années 60 se trouvaient des travailleurs venant du maghreb mais aussi d’espagne, du portugal et d’autres régions françaises également pour travailler à la capitale.. (oui des gens du pays !)
Vivaient presque aussi mal des familles parisiennes, nombreuses, entassées dans de petits logements insalubres, sans commodités...
Tous (familles d’immigrés et natifs mal logés) furent prioritaires pour bénéficier d’une hlm, claire, salubre avec toutes les commodités (wc à l’intérieur, salle de bain)...
Ce fut le bonheur au début, puis la déprime ensuite (faut dire ce qui est, c’était moche, sans âme et excentré !), grands ensembles impersonnels qui selon les sociologues favorisaient la délinquance (mais on n’en tint pas compte).
A cette époque, les classes moyennes de paris intra muros (à moinsse d’habiter sur le boulevard saint germain ou autre avenue cosy), se lavaient dans la cuisine (plutot exigüe), les toilettes étaient communes, sur le palier.