Comme je l’expliquais dans mon article refusé (bien sur), les masques ne servent à rien.
Les gouttelettes de Flügge, ou postillons, sont peut-être arrêtées par un masque, mais elles ne sont pas le vecteur essentiel du virus.
Celui-ci pénètre les voies aériennes sous forme d’aérosol, dont les particules extrêmement fines, non seulement passent facilement les pores du masque (surtout les masques faits à la maison avec n’importe quoi), mais ont tout loisir de passer dans les espaces entre le masque et le visage.
Il s’agit donc d’une illusion de protection et de sécurité.
Mais c’est un formidable moyen de marquage du troupeau des croyants bêlants.
Jacques Brel parlait de ces dames patronnesses qui tricotaient en vert caca d’oie, « pour reconnaître ses pauvres à soi ».
Les masqués sont ces moutons, ou ces misérables de la macronnie et du gouvernement mondial dont il est le criminel avatar.
J’ajoute que le confinement aura favorisé l’inhalation d’un air chaud et humide, ce qui a largement facilité la diffusion du virus à l’intérieur des communautés familiales ou de personnes âgées.
Là où il fallait de l’air sec et du soleil (UV protecteurs, synthèse de Vit D), on a imposé un air vicié, saturé d’humidité par la promiscuité, et l’obscurité.
Ce furent des conseils de Diafoirus, à l’image de ce professeur auto-satisfait de son ignorance.