@Claudec
(. . .) "Auriez-constaté que
la contrainte soit parvenue quelque part au résultat que vous
souhaitez ?
" (. . .)
Auriez vous constaté que les droits dont vous disposez encore(¹) ce jour, en comparaison de nos ancêtres en servage, il y a seulement un peu plus de deux cent ans,
pouvant être pendus haut et court sans autre forme de procès, pour un lièvre braconné dans les champs afin de nourrir leurs gosses, ou bien se tuant à la tâche dans les usines et/ou au fond des mines 16 hrs/jr et 6 jrs/7 au XIX siècle, en compagnie d’enfants de moins de dix ans, souvent les leurs trimant à leurs cotés, ont été obtenus pacifiquement sans que coule une goutte de sang, par simple demande ’fraternelle« auprès des nantis et parasites des époques concernées !?
(. . .) »Reste à inventer
d’autres moyens que la lutte fratricide pour parvenir à éradiquer
la pauvreté “profonde” ; faute de mieux, richesse et pauvreté
existant inexorablement l’une par l’autre dans leur relativité.
« (. . .)
Vous me donnez là de plus en plus l’impression d’un »néo-chanoine« ! Préparation à la nouvelle féodalité que certains nous préparent aux petits oignons ?
(. . .) »Et pourquoi le
surplus des uns ne pourrait-il pas être mobilisé à cette fin
« (. . .)
Je doute fortement que nous puissions nous mettre d’accord sur la signification quantitative et qualitative du terme »surplus« , notamment avec les familles trilliardaires parasitant les peuples et les nations depuis des siècles.
(. . .) »ce qui est aggravé par le fait que plus
nombreux sont ceux qui y prétendent, moins est importante la part de
chacun.
« (. . .)
(. . .) »pour
autant qu’il ne soit pas déversé dans un puits sans fond ?
« (. . .)
Que voila des préoccupations très intéressantes, que le dénommé B. Gates pourrait tout à fait faire siennes, lui qui est si préoccupé de la santé des pauvres de la planète, après avoir claironné durant des années qu’il y avait surpopulation. . . De miséreux !? . . .
(¹) D’après ce pince sans rire de J. Attali, on peut dire adieu à toutes formes de droits et de solidarité à l’avenir, car la sacro sainte »loi du marché" orchestrera toutes les activités humaines, sans autres considérations que le profit.