« Il n’y a pas
de lieu où l’amour de Dieu soit absent, il n’y a pas d’enfer. »
« Autrement dit, je
ne pense pas que le jugement dont il est question bibliquement sépare des gens
sauvés et des gens damnés. »
Jacques Ellul se
trompe, l’Ecriture dit qu’il y a un enfer :
Et la mort et le séjour des morts furent jetés
dans l’étang de feu. C’est la seconde mort, l’étang de feu. Quiconque ne
fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu. (Apocalypse
20:14-15)
Et le diable, qui les
séduisait, fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le
faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles.
(Apocalypse 21:8)
Mais pour les lâches,
les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les
enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang
ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. (Apocalypse 20:10)
Et la bête fut prise,
et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par
lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré
son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l’étang ardent de feu et
de soufre. (Apocalypse 19:20)
Et ceux-ci iront au
châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle. (Matthieu 25:46)
Ils auront pour
châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de
sa force, (2 Thessaloniciens 1:9)
Si ta main est pour
toi une occasion de chute, coupe-la ; mieux vaut pour toi entrer manchot dans la
vie, que d’avoir les deux mains et d’aller dans la géhenne, dans le feu qui ne
s’éteint point.
Si ton pied est pour
toi une occasion de chute, coupe-le ; mieux vaut pour toi entrer boiteux dans la
vie, que d’avoir les deux pieds et d’être jeté dans la géhenne, dans le feu qui
ne s’éteint point.
Et si ton oeil est
pour toi une occasion de chute, arrache-le ; mieux vaut pour toi entrer dans le
royaume de Dieu n’ayant qu’un oeil, que d’avoir deux yeux et d’être jeté dans
la géhenne, où leur ver ne meurt point, et où le feu ne s’éteint point. (Marc 9 :43-48)