Ces « annonces de plan » avec des chiffres tellement voyants sont à l’image du compteur affiché par tous les médias à propos du nombre de morts de la crise sanitaire fabriquée artificiellement.

Ils marquent les esprits par les nombres, accompagnés d’une photo de groupe où tout le monde est heureux. Sans préciser que la vieille et perfide Merkel mène la danse dans ce nouveau diktat allemand, secondée par ce néo-Laval qu’est Macron, dans cette tentative d’asseoir les objectifs de la nation dominante sur les dominions qui ne peuvent s’émerveiller du « chiffre » — cette somme tellement généreuse qu’elle ne suffirait pas à un seul Etat.

On ne nous dit surtout pas les provenances de ces « fonds magiques » arrivant subitement sur la table alors qu’on nous dit (du plus loin que je me souvienne) que « la France n’a plus de pognon ». Qu’il y a « une récession sans précédent » mais, bizarrement, le pognon à l’air de couler à flot...

En apparence effectivement vu qu’ils signifient, comme expliqué dans l’article, une nouvelle forme de servage via les impôts/taxes ainsi que « les concessions et sacrifices » afin que le Titanic, mené volontairement sur les glaciers environnants, ne sombre définitivement.

Ces fonds serviront à amortir les pertes des grands actionnaires qui nous feront encore un beau bras d’honneur et licenciant/délocalisant comme ils l’ont encore fait récemment. Parce qu’on ne touche jamais à la poule aux œufs d’or et qu’elle n’aura jamais à s’inquiéter du loup, préférant justement tuer les poussins en les asphyxiant sous un oreiller de taxes.

En fait, le « plan de relance européen » est un symptôme qui cache la maladie qu’est l’UE. De cet espace théoriquement « protecteur des libertés et citoyens » mais qui n’est, en pratique, qu’une zone de business violent où tous les coups bas sont permis.