@Traroth. Ahuri ! Tu cites un militant carbocentriste ! Ils font ce pourquoi leur directeur a été nommé là et est payé. Sinon c’est la porte... Ledit directeur est incompétent, mais qu’importe, pourvu qu’il soit obéissant...
Tous les modèles climatiques prédisent trop de réchauffement...
Nouvelle publication de John Christy et Ross McKitrick qui compare les prédictions des modèles climatiques aux observations.
Plus le temps passe et plus cela se confirme : aucun des 38 modèles
disponibles avec l’archive CMIP6 ne prédit correctement ni les
températures de la moyenne troposphère tropicale, ni les températures globales. Tous les modèles surestiment la sensibilité climatique, et le plus souvent de façon statistiquement significative.
Pourtant ce sont sur ces modèles qui servent d’argument au GIEC pour attribuer la quasi-totalité du réchauffement observé à l’humanité et aux politiciens verts pour accélérer les politiques de « transition énergétique ».
Les professeurs de mon école d’ingénieur répétaient sauvent de ne pas se lancer inconsidérément dans des calculs, faute de quoi, on risquait de passer des heures à calculer des âneries bonnes pour la poubelle. Voilà près de 30 ans que les modélisateurs du climat calculent massivement des moyennes d’ensembles sur des systèmes d’équations dont on sait que les solutions numériques divergent rapidement de la réalité.
https://doi.org/10.1029/2020EA001281
L’article complet est ici, les données et le code informatique sont
joints.
https://www.rossmckitrick.com/uploads/4/8/0/8/4808045/cmip6-ess-
acceptedversion.pdf
https://www.rossmckitrick.com/uploads/4/8/0/8/4808045/cmip6.archive.zip
Tous les modèles surestiment le réchauffement. On sait depuis longtemps que les modèles climatiques surestiment en moyenne le réchauffement de la troposphère sous les tropiques. Ce phénomène a été signalé comme une grave incohérence en 2005 dans le premier rapport du programme scientifique américain sur le changement climatique et a été mentionné dans tous les rapports du GIEC depuis lors. Mais au lieu d’être corrigé, le problème s’est aggravé avec le temps, et le biais est maintenant mondial. Nous avons examiné les passes sur l’intervalle post-1979 dans les 38 premiers modèles climatiques mis à disposition dans les archives du CMIP6, en examinant la basse et la moyenne troposphère dans les tropiques et à l’échelle mondiale. Chaque modèle a surestimé le réchauffement dans les deux couches, à la fois au niveau mondial et dans les tropiques. Dans la plupart des cas individuels, le biais est statistiquement significatif et, en moyenne, il est très important. Nous montrons également que le biais est plus important dans les modèles à ECS élevé, mais même les modèles à ECS moyen plus faible prédisent un réchauffement trop important. Si un groupe de modèles devait apparaître avec une représentation réaliste du réchauffement global de la troposphère, il devrait probablement avoir un ECS inférieur même aux membres à faible ECS de l’ensemble CMIP6.
Texte rassemblé par Paul Aubrin