@George L. ZETER
Je profite de votre article pour pousser un coup de gueule.
Depuis dix ans, j’ai largement participé, bénévolement, à l’essor et au succès de ce media qu’est agoravox.
J’ai publié 140 articles avec plus de 50.000 lecteurs à la belle époque.
258 ont été refusés, au moins 15 jours de travail à plein temps, sur les sujets les plus chauds.
La moyenne de mes articles publiés recueille encore 4 à 5000 lecteurs.
De plus, si je ne participe pas par mes commentaires au débat, un article va faire 30 commentaires à tout casser.
Si j’y participe, il va facilement atteindre 300, compte tenu, c’est vrai, des nombreuses mouches à merde qui me collent au cul, les pemile, foufouille, alcyon, nono, white rabbit et autres trolls parasites qui n’ont jamais rien d’intéressant à dire et qui devraient être virés.
Mais enfin, cette audience que je provoque me donne des droits, en particulier celui d’être publié.
Or, par un caprice du Prince, la plupart de mes articles sont refusés maintenant. Et ce n’est pas un refus des rédacteurs, mais de la direction, puisque mes scores sont tous à +4, même si plus de 20 rédacteurs me plussent.
Alors voilà : je mets le marché en main : ou bien je suis publié, ou bien je me retire, tant dans la rédaction d’articles que dans mes commentaires.
Et j’invite les meilleurs commentateurs et auteurs à faire de même, en un boycott de haute valeur contestataire, en signe de solidarité.
Après tout, ce journal peut se passer de ses parasites, mais pas de ses acteurs.
Le patron, c’est nous.
Merci aux rédacteurs de participer à ce boycott jusqu’à ma réintégration.
Je leur demande de recopier ce message et de le reproduire à tour de bras si la direction s’avise de m’exclure.
Une autre façon de faire et d’écrire à chaque occasion : « J’exige la publication des articles de Doctorix (éventuellement sa réintégration) , faut de quoi je retire ma participation à ce site ».
Vous avez donc l’occasion de manifester ainsi votre puissance, votre pouvoir de solidarité et votre capacité de RESISTANCE.
Ce dont je vous remercie. Je serais très triste de devoir vous quitter, mais ce journal ne peut plus chier impunément dans la main qui le nourrit.