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Commentaire de charlyposte

sur Les masques. Une mauvaise fable française


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charlyposte charlyposte 4 août 2020 18:27

Connaissez-vous les effets de la peur sur le cerveau ?

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La peur qui induit des comportements irrationnels dans le cas d’associations, comme le démontre l’expérience de Pavlov. Le contexte actuel de peur, monté en épingle par les « déclarations d’experts », les articles alarmistes ultra médiatisés, les mesures confiscatoires de nos libertés, tout cela associé, ça donne quoi ? La peur ! Ça contribue fortement à ce que cette peur soit généralisée. On vous demande de penser, d’agir, de réagir selon une situation qui a été amplifiée à l’extrême. Des médecins, généticiens et autres virologues du monde entier alertent ICI, ICI, ICI, ils sont censurés par les plateformes de partages, classés sans autres formes de procès, dans la catégorie des affreux conspirationnistes, pourvoyeurs de « fake news ». Contrôler la peur, rationaliser les informations, pour éviter des actions qui feront le jeu de ceux qui tirent les ficelles, ce qui leur permettra d’instaurer un régime dont personne ne veut. Cui bono ?

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Lorsque vous avez peur, votre cœur s’accélère, vos yeux s’écarquillent, votre niveau d’attention augmente (vous êtes capable de vous concentrer davantage et plus longtemps), etc. Mais que se passe-t-il réellement dans le cerveau dans une situation de ce genre ?

Nous donnons le nom de peur à la sensation d’angoisse que nous ressentons en cas de danger ou de menace, réels ou imaginaires. Dans le cerveau, la peur est le résultat de l’activation d’un système d’alarme adaptatif face à un danger. Cela conduit à des changements physiologiques, comportementaux et cognitifs nous aidant à survivre.

Dans le domaine des neurosciences, la peur a été reliée à une structure cérébrale : l’amygdale. Celle-ci se situe dans le système limbique et joue un rôle fondamental dans la recherche et la détection de signaux de danger, en plus d’être impliquée dans d’autres émotions. L’amygdale est généralement inactive mais se met en marche face à la moindre menace.

Cependant, plus récemment, on a découvert que d’autres structures et réseaux étaient impliqués dans la peur ; ensemble, ils préparent notre organisme à faire face à une menace. En fait, une récente méta-analyse a permis de découvrir que l’amygdale n’est pas la structure la plus importante en ce qui concerne la peur.

Apprentissage de la peur

Même si la peur se produit de façon naturelle, une grande partie de nos peurs se produisent par apprentissage. C’est ce qui s’appelle le conditionnement de la peur : il peut avoir lieu de façon intentionnelle.

Cet apprentissage de type pavlovien se produit lorsque vous reliez à plusieurs reprises un stimulus neutre (par exemple, un carré) à un stimulus aversif (par exemple, un bruit fort).

Ainsi, le stimulus neutre qui, en principe, ne provoque aucune réaction, finit par déboucher sur une réponse conditionnée, comme le fait de se boucher les oreilles.

L’apprentissage de la peur peut se voir dans des troubles où la personne n’avait auparavant aucune sensation négative associée à un événement. Par exemple, quelqu’un qui était capable de prendre les transports publics mais qui, après plusieurs crises de panique et l’impression de pouvoir mourir, n’arrive plus à monter dans un bus.

Aires cérébrales...............

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