@Marius Morin
insi, nous sommes invités à pénétrer le plus vite possible ce monde
hermétique qu’est la biotechnologie mondiale. Les personnes de bonne
volonté qui sont capables de triturer les informations largement
disponibles devraient très rapidement confirmer ou infirmer mon
hypothèse. J’espère me tromper.
Le problème avec le génie génétique est que il travaille sur les
gènes, et ceci concerne l’ensemble du monde du vivant. Les modifications
génétiques ont d’ores et déjà été faites sur le règne végétal, le règne
animal (allant jusqu’à la création de chimère !), et la probabilité est à
son maximum pour que cela concerne très bientôt (pour autant que cela
ne soit pas d’ores et déjà le cas) l’humain. Il s’agirait alors de
mettre un terme à l’humanité telle que connue pour fabriquer des HGM
(humains génétiquement modifiés) sous le contrôle de laboratoires. Il y
a quelques jours, l’Assemblée nationale, représentée par un tout petit
nombre d’élus, a validé la réforme de la filiation liée à l’ouverture de la PMA pour toutes les femmes.
La Suisse avait fait la même chose il y a des années… Et la
désacralisation du patrimoine génétique humain est au cœur de cette
révolution menée par la haute finance munie de technologie.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/loi-bioethique-et-pma-nouveau-feu-vert-de-l-assemblee-a-la-reforme-de-la-filiation_2132084.html
https://lilianeheldkhawam.com/2015/05/28/la-haute-finance-a-lassaut-de-votre-patrimoine-genetique-par-liliane-held-khawam/
Modifier le patrimoine génétique humain par le génie génétique,
engendre des risques inconnus. C’est pourtant cette médecine qui semble
avoir été choisie comme la médecine du Nouveau Monde. Et la médecine
traditionnelle ne semble pas avoir sa place dans le Nouveau modèle
sanitaire, soumis à l’ingénierie génomique. Alors vous comprenez que des
molécules comme l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique
classique fassent ringards dans le décorum high tech. Signalons des
ruptures d’approvisionnement diverses et variées en matière de
médicaments, et notamment d’antibiotiques.
https://www.letemps.ch/economie/une-grave-penurie-medicaments-menace