@olivier cabanel
c’était il y a à peine dix ans :
Luc Montagnier déclare qu’il ne se fera pas vacciner contre le virus de la grippe A H1N1
« Interrogé sur la dangerosité du virus H1N1, le PR. Montagnier a
déclaré que le virus H1N1 n’était pas encore aussi mortel que celui de
la grippe espagnole ou que celui de la grippe aviaire (Combien de
victimes humaines recensées à ce jour ????), mais que ce nouveau virus
était très contagieux bien qu’il ne provoque que des grippes bénignes
qui toutefois se révélaient graves dans certains pays en particulier
tels que les USA, le Canada ou la Grande-Bretagne.
A la question sur l’origine de cette disparité géographique, le Pr.
Montagnier explique cette originalité soit à cause de la pollution
chimique rencontrée dans ces pays, soit à cause d’une alimentation
pauvre en anti-oxydants des populations de ces pays.
Puis le journaliste demande au Pr. Montagnier s’il à l’intention de
se faire vacciner, le lauréat du Prix Nobel répond : « Je n’ai aucune
raison de le faire, je suis vieux, d’ailleurs, je n’appartiens à aucun
des groupes considérés comme population à risque. Et puis les anciens
ont un sorte de mémoire immunitaire qui les protège contre ces types de
virus »
Puis s’ensuit un certain nombre de questions sue le virus HIV et la situation actuelle du sida.
A la question « où en est la recherche du le vaccin contre le
sida ? » le Pr Montagnier répond que les essais n’ont pas apporté de
grands résultats et qu’il préconisait de rechercher plutôt une molécule
en mesure d’éliminer totalement l’infection et capable de stimuler la
réponse immunitaire des patients que de tenter d’identifier les formes
de virus qui résistent aux thérapies.
En conclusion, le journaliste demande :
Récemment, certains ont déclaré que l’humanité du troisième
millénaire devra se battre contre des virus toujours plus féroces.
Partagez vous ces sombres prévisions ?
’’ Je crois que nous ne débarrasserons jamais des virus, parce que
l’être humain continue à créer les conditions nécessaires à l’apparition
de nouvelles épidémies. Regardez ce qui se passe au sud de la planète
où la démographie échappe quasiment à tout contrôle et où des
mégalopoles se développent en englobant d’immenses poches de pauvreté.
Regardons l’Afrique : comment sera-t-il possible d’améliorer l’économie
globale de ce continent, donc des conditions sanitaires, s’il est vrai
qu’en 2050 on comptera 2 milliard d’habitants ? Voyez les perspectives
d’un virus dont l’objectif est de se multiplier le plus rapidement
possible. Si nous lui offrons les conditions pour le faire, il
continuera à en profiter.’’
Cette interview est riche de sous-entendus que chacun interprètera
selon ses sensibilités sur la question. Toutefois, il est certain que la
guerre contre les virus est loin d’être gagnée.
Vacciner devient aussi dérisoire que de vouloir réaliser un rempart comparable à la muraille de Chine.
Vacciner toujours transforme l’être humain en champs de bataille
dévasté et meurtris par le conflit inégal entre la science actuelle et
les germes. Dans ce combat les germes auront toujours un tour d’avance
sur la science.
L’article se conclut sur cette phrase : "Vacciner encore et la victime assurée de ce combat sera celui qui
aura accepté de s’offrir en sacrifice sur le champ de bataille "
Aujourd’hui je peux ajouter : les victimes collatérales seront ceux qui seront victimes de la répression qui sera organisée à l’encontre des résistants.
De sorte que l’humanité entière sera victime de la folie de ces discours aussi anxiogènes que fallacieux répandus ad nauseam sur la planète entière et qui masquent la nécessité vitale de s’unir contre les pollutions et la malnutrition.