@Yanleroc
L’assassinat de nos aïeux
La protection de nos ainés,
victimes désignées du Covid19 constituait l’objectif « officiel »
prioritaire du confinement. Or toutes les mesures prises durant la loi
d’urgence ont abouti à les éliminer sans témoin et en empêchant de leur rendre le
dernier hommage. Le meurtre avec préméditation par Covid non traité et/ou
Rivotril des pensionnaires des Ehpad constitue l’infamie la plus triste du
confinement. Le terme assassinat est violent, mais correspond aux faits
constatés d’une mise à mort organisée. Le premier temps a été de les couper de
leur famille les transformant en « prisonniers au mitard »[3], les rendant
plus vulnérables et facilitant les syndromes de glissement (désintérêt
progressif de la vie rendue insipide par l’absence de contacts menant au décès)
alors qu’il aurait été possible de maintenir des contacts protégés. Le second
temps a été de les interdire de tests diagnostiques[4] puis de
réanimation[5] puis
d’hôpital. Le troisième de réexpédier les pensionnaires malades dans leur
établissement d’origine ou faute de possibilité réelle d’isolement, de matériel
de protection et de personnel en nombre suffisant ils ont contaminé leurs
compagnons d’infortune. La solution finale a été le décret Rivotril[6] qui a organisé
la dispensation d’un produit destiné à les tuer sur simple suspicion de Covid
(sans certitude diagnostique) avec rédaction d’une ordonnance
« préventive » et préparation d’une seringue nominale sans prévenir
le malade ni sa famille ni même attendre une éventuelle aggravation. Le 6 mai
2020 les personnes âgées dépendantes résidants en Ehpad représentaient la
moitié des morts attribués à l’épidémie en France (12 769 décès sur les 25 531)[7]. L’objectif
allégué du confinement n’a donc pas du tout été atteint, ni même visé.