Ah tout va bien au pays du capitalisme . Des nouveaux migrants prêts à a peu près n’importe quoi pour survivre, des éduqués pour les faire travailler et tout un mouvement identitaire qui renait pour les maintenir à leur place . Les prolos bien habitués à la société des chaises musicales sauront qu’ils doivent prendre leur carte au FN du coin (l’Afd, apparemment) pour éviter de se retrouver seul debout à la fin de la chanson, les élites n’ont plus qu’à proner l’intégration et la tolérance
pour rappeller aux sans dents leur sempiternelle infériorité morale et maintenir les antagonismes .
Ca marche à tous les coups, comme une bonne recette de soupe à l’oignon . Les vagues d’immigration ont régulée le capitalisme et les mouvements sociaux depuis son apparition . Nos patrons leur ont préférés les délocalisation pendant longtemps, mais il semblerait que ça devienne de plus en plus compliqué