@L’apostilleur
Analyse très intéressante !
Contre la perversité humaine, il n’existe aucun traitement et de ce fait aucune guérison. Un pervers dispose d’une structure psychique pétrifiée, il ne ressent aucune culpabilité, ni empathie. Seul son plaisir compte.
C’est pour cela qu’il nous faut nous protéger de ces individus. Les éliminer physiquement serait une solution rapide et économique, mais elle ferait de nous des barbares.
Une seconde solution serait de les retirer définitivement du monde social. La prison à vie dans des établissements dédiés, ou sur une île en compagnie leurs congénères. Cette dernière solution, plus économique poserait également des problèmes éthiques.
Entre l’idéologie humaniste et le réel, le fossé est parfois si large et si profond qu’il est difficile voir impossible de concilier l’un et l’autre.
Sans vouloir se décharger de ses responsabilités, c’est bien à nos dirigeants élus de prendre le taureau par les cornes et de mettre en oeuvre les mesures qui s’imposent, même si elles ne sont pas totalement conformes à l’éthique, même si elles coûtent chers.
Il est temps de respecter les victimes.
Il est temps de protéger nos enfants, nos proches, notre pays de ces prédateurs.
Il est temps d’agir !