@Fergus
Je n’arrive pas à comprendre comment vous pouvez affirmer de telle contre-vérités.
Le taux de récidive pour les délits sexuels est de l’ordre de 23%, un quart !!!. Et de 5% pour les crimes sexuels. Ces chiffres sont incomplets, car on sait qu’il y a une tendance à l’aggravation des actes dans tous les délits et crimes. Et on ne sait combien dans ceux condamnés une seule fois pour crime, la part de ceux qui ont commencés par des délits.
Ce risque ne peut être assumé, il faut prévenir et protéger toutes les femmes de ces prédateurs ignobles qui sont pour la plupart irrécupérables. C’est bizarre, votre engagement contre la violence faite aux femmes est incontestable. Comment se satisfaire d’une situation aussi inadmissible, je ne juge pas en tant qu’individu mais en tant que citoyen, tellement je ne peux me mettre à la place des parents et proches des victimes.
Vous parler de l’espoir de ces individus, il me semble que nous arrivons au bout de cette position altruiste consistant à vouloir rendre à un homme sa dignité. Il faut à mon sens être pragmatique et protéger, protéger, protéger ... C’est mon seul sentiment. Charge à ceux qui font la justice de le faire dans le respect des lois.
Faut-il donc considérer comme des tueurs à venir tous ceux qui ont accompli leur peine ? Sur quels critères ?
Faut-il donc ignorer le risque couru à la libération des tueurs qui ont accompli leur peine ? Sur quelles bases ?
PS : Il me semble que le « principe de précaution » tant vanté ici et là pour des sujets bien moins grave que la mort de femmes devrait prévaloir.