@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Depuis sept mois de crise sanitaire, la peur distillée aux français,
vient de franchir une étape supplémentaire avec la décision du pervers narcissique embusqué à l’Elysée derrière ses compagnies de CRS noyautées par l’Eurogenfor OTAN .
Obligation est faite de porter un masque en toute circonstance, y compris à l’air
libre ; à l’encontre de tous les avis de tous les scientifiques, épidémiologistes,
médecins, virologues, alors qu’ils convergent vers l’opinion très majoritaire que le port du masque à l’air libre est inutile et inefficace pour
se protéger d’un virus.
Virus qui soulignons le, a disparu depuis la fin de l’épidémie (et non pandémie)de grippe annuelle. Apportons tout de même les précisions suivantes !
Sophie CHA, médecin conseiller ARS Bretagne. Virologue
"Amis amateurs de
virologie de comptoir : en tant qu’ancienne virologue ayant exercé pendant
plus de 20 ans au CHU de Rennes, je me permets d’apporter ma contribution à la
chasse aux fake news !
Pour ceux qui paniquent littéralement à l’idée de sortir de chez eux
sans gel hydro-alcoolique, sachez que la chlorhexidine (Biseptine°) ou le Dakin
(eau de Javel diluée) seront aussi très efficaces sur ce genre de virus
(liquides et non gélifiés, ce qui les rend un peu moins faciles d’utilisation).
Les Coronavirus sont connus
de longue date, et les types 229 E et OC43, capables de donner quelques
infections sévères dans les unités de prématurés, n’étaient pendant longtemps
plus recherchés dans les prélèvements respiratoires car jugés trop inoffensifs.
Celui qui circule
actuellement est nouveau pour l’Homme, il se propage rapidement car ne
rencontre aucun humain immunisé, donc aucune barrière physiologique, c’est bien
ça qui pose un problème au système de santé.
Il n’est globalement pas plus
agressif qu’une grippe, mais comme personne dans la population ne possède
d’anticorps, il diffuse à grande vitesse.
La stratégie de confinement vise donc
à freiner sa propagation : pour que la totalité de la population
infectable (nous tous) mette un an à se contaminer plutôt qu’un mois, afin
d’éviter le déferlement de la population dans le système de santé.
Nous serons tous
infectés : certains seront asymptomatiques, d’autres feront un rhume, une
bonne crève, voire une « grippe », et ce sont les plus fragiles ,
incapables de produire une immunité efficace, qui feront les formes graves.
Lorsque plus de 80% de la population auront fait l’infection, la circulation
cessera…