Encouragements à l’auteur, et merci des positions / éclaircissements que vous proposez. Pour prolonger....Extraits d’un texte du 22 mars=""
Un
gouvernement dirige, essaye de prévoir, prend des décisions, et
communique ! C’est entendu. Et ce avec la justification permanente
des bonnes intentions ! De futures alibis en perspective pour
s’autoamnistier ? De quoi justifier tous les dénis possibles ! C’est
le cas maintenant. Contrairement à W.Churchill quand il avait
promis, aux pires moments, de la sueur, du sang et des larmes. Faire
face debout aux menaces nazies sur le Royaume Uni était sa
détermination, absolue. En situation de crise, gère-t-on en même
temps un pays avec seulement des alibis et des bonnes intentions ?
Entrer en résistance ne se joue pas en paroles mais se vit, avec
ses tripes. Entrer en résistance exige un langage de vérité !
Si c’est une guerre, elle se gagne avec une détermination qui
surmonte tous les découragements. Sauver des vies, c’est le premier
objectif. Point barre. Il est médical mais aussi social. Donc
pleinement humain. Or ce n’est pas une vraie guerre, dieu merci, mais
un véritable fléau ! Et combattre un fléau suppose non de jouer
sur des justifications incohérentes manifestes, mais sur des
méthodes et des moyens clairement identifiés. Dans la vérité
visible de ce qu’on affirme.
La
Communication Gouvernementale
Ce
qu’on a entendu depuis le début de cette crise dès janvier 2020
respire un rythme de slogans fatigués. Par exemple, “obligé de
s’adapter” entend t’on. C’est l’argument alibi. Mais aussi le
non-dit d’un aveu d’impuissance. Ne sert-il pas justement à masquer
les dénis, les mauvais choix révélés par les faits ou les non
décisions des chefs ? L’ancienne ministre de la santé n’en
faisait-elle pas partie puisqu’elle a révélé en mars qu’elle
savait ce qu’elle nous a jamais dit en janvier ! La
communication politique est un art. Au service de quoi ? Depuis
décembre 2019, celle du gouvernement consiste à justifier ce que le
pays est incapable de prévoir et de faire. Ce gouvernement s’est
d’abord positionné dans la non décision, alors qu’il en savait plus
que n’importe qui !« »"......