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Commentaire de Nicole Cheverney

sur Que nous a apporté cet épisode épidémique épistémologique ?


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Nicole Cheverney Nicole Cheverney 18 septembre 2020 14:32

@alinea

Bonjour Alinéa,

Je ne fais pas partie des optimistes. Car je pense que le niveau de folie qui a envahi le monde depuis quelques années ne va pas du tout se tasser. Les mouvements sociaux  gilets jaunes  et manifestations concernant la retraite  ont été syphonnés par les agents de crise, et bien sûr, interrompus brutalement par une fausse pandémie, annoncée par les Cassandres qui voyaient en ce genre d’événement, de quoi créer leur Nouvel Ordre Mondial (Désordre et chaos à l’échelle de la planète), pour imposer le contrôle des populations. Ce que je dis ne relève ni de fantasmes, ni d’exagération, de ce désordre organisé voir Bill Gates, et les fanatiques de l’Intelligence Artificielle comme un Alexandre, par exemple. Nous allons vers une société mortifère et totalitaire dans ses fondements, et les applications pratiques qui en découleront. Cette société ne repose que sur une chose, l’auto-centrisme d’une petite partie de la population mondiale  les 1 %  pour qui toute chose se traduit par profits exponentiels et s’assurer d’un inimaginable et presque surhumain accaparement des richesses individuelles et collectives de la planète. Ils n’en ont jamais assez. A un moment de l’histoire de l’humanité, lorsque une poignée d’individus considère que le reste de la population mondiale  des milliards  ne vaut pas mieux qu’un troupeau de bétail, alors il faut se poser les bonnes questions et arrêter de tourner autour de la lamentable comète du suffrage universel qui instrusmentalise les populations. Il est très difficile de résister individuellement et collectivement aux pressions mediatiques, institutionnelles  surtout lorsque les institutions se sont délibérément débarrassées de leur mission étatique pour se livrer toutes entières à des entités privées, par l’entremise de politiciens prêts à toutes les fredaines, les trahisons, les mensonges, les actes des plus délitueux aux plus sordides. Depuis des années nous supportons ces voyous notoires, qui se drapent dans la toge de la respectabilité, mais ne révèlent que la laideur de leurs sentiments et de leurs pulsions malsaines. 
Autant le dire, j’ai le plus parfait mépris pour eux, mais j’ai aussi du mépris pour les Jocrisse qui les portent au plus haut de la pyramide institutionnelle. Et ces Jocrisse, c’est nous les électeurs sous la coupe incessante de l’ingenierie sociale. 
Chère Alinéa, n’étant pas optimiste, car trop clairvoyante dans le devenir de notre société, j’en ai conclu que nous ne pouvons combattre, ni le mal, ni apporter le bien, s’il existe, (pour le mal, je n’ai aucun doute), sans le substrat spirituel. Il peut revêtir plusieurs formes, pour moi c’est un rapprochement récent, après des deuils, du message christique, et retrouver la puissance des mots à travers l’Evangile. 
Mais ne vous méprenez pas, je ne suis ni grenouille de bénitier, ni punaise de prie-Dieu. J’essaie seulement, à mon âge, de survivre dans le cloaque ambiant. Nous sommes un peu comme ces jardiniers daltoniens qui confondent les tomates vertes et rouges et qui, les mangent. Ils les trouvent vertes et acides, mais malgré tout, continuent à planter les tomates, et au nom de leur vision erronée des couleurs, continuent de les confondre, de les consommer pour les recracher aussitôt. Nous consommons les politicards, comme si nous ne savions pas quelle issue ils nous réservent, après les avoir portés au suffrage. Un vigneron expérimenté vous dirait : le vin est tiré, il faut le boire ! Eh bien, pour les programmes des politicards stipendiés, le vin est tiré, il est aigre, et l’on continue à le boire.
Mes excuses pour ce long commentaire, bien cordialement.


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