Je ne vois pas ce que l’on gagne en encourageant l’occupation du bien d’autrui pour y habiter, et que de fait, le principal occupant se retrouve..... à la rue.
(Je ne parle même pas des résidences secondaires, mais une absence prolongée pour diverses raisons, peut rendre votre habitation principale visiblement
« inoccupée »)
A part déplacer la notion « d’habitant » de qui « entre » facilement, et qui « sort » ......difficilement......
Mais apparemment, il semblerait que, celui qui « as » est plus coupable que celui qui « veux et qui prend ».
Si c’est juste cela qui prévaut dans le raisonnement, on n’est pas au bout des surprises.
Mettons tout à plat, et refondons l’économie.
J’aimerai que l’on m’explique comment on peut accepter pareil « partage » ?
Quand vous avez travaillé une bonne partie de votre vie, pour accéder au nirvana du petit pavillon de banlieue, dont les traites ont été aussi nombreuses que les pieds de dahlia qui bordent l’allée du « palais ».....Et que certains « ayant droit d’office » s’y installent, parce que la société ne leur donne pas de toit......Et choisissent le vôtre, comme exutoire contre les conséquences « indécentes de vie » auxquels ils sont soumis.....
Ce ne seras pas du partage, mais une haine partagée, parce que le simple pékin qui a sué sang et eau tout au long de sa vie, pour sauvegarder un petit bien pour sa retraite ( et encore si il y arrive en bonne santé, vu qu’il est à l’hôpital et que sa maison semble " inoccupée ), n’accepteras pas qu’on le spolie de SON bien.
Et vous pouvez faire le rapprochement avec tout ce que vous voulez, de la voiture, au compte en banque, en passant par le corps, c’est comme ça, et on peut faire les origami qu’on veut avec la pitié, cela ne changeras pas de sitôt !