@Fergus
le « principe de précaution » doit désormais être, qui qu’on en pense, « posé en règle » pour les rares espaces disponibles en fond de vallée et exposés à des événements catastrophiques dont on sait qu’ils surviendront.
Vraiment, comment oser donner des leçons de ce type. Les élus ne sont pas les mafieux corrompus que vous citiez ... Ces villages survivent grâce à ces élus, souvent actifs, mécaniciens, restaurateur, ... ils font des pieds et des mains pour essayer de conserver une population qui souffre de l’abandon de l’etat sur ces zones reculées du département. Leurs villages sont en danger, pas de crues mais de la disparition ...
Le principe de précaution ? Allons, la plupart des dégâts sont sur des habitations anciennes et infrastructures routières qui n’ont rien à voir avec ce principe. Il s’agit d’un événement exceptionnel, à écouter les écolos-bobos, il faudrait éviter de vivre, d’améliorer l’accès. Par exemple, ces villages sont traversés l’hiver par les skieurs qui se rendent dans les stations de La Colemaniane, Roubion, Isola ou Auron ... Des routes ont été construites le long des rivières pour limiter la traversée de ces villages, ces routes ont été emportées, ne faut-il pas les reconstruire et laisser ces villages traversés par des centaines de voitures, rendant la vie des locaux intenable.
Le principe de précaution est une chose, l’utiliser sans aucune réflexion est exactement dans le même type de raisonnement que celui consistant à protéger sans discernement de la COVID et détruire des pans entiers de l’économie ...