@titi
IL n’y a pas de contradiction :
Je répète il est de la responsabilité de L’État russe de défaire ce que ce tordu de Staline a tissé. A l’implosion de l’URSS chaque république a retrouvé ses frontières pourquoi pas le Nakhitchevan, l’Artsakh et le Djavakhk ( transféré de l’Arménie à la Géorgie).
Si au Nakhitchevan les turcs voisins ont fait fuir la population arménienne majoritaire, il n’en est pas de même au Djavakhk ou les Arméniens sont encore en très grand nombre.
Des 3 pays du Sud -Caucase, l’Arménie est devenue minuscule au fil des siécles.
Les Turcs ont tellement pris l’habitude de s’essuyer les semelles sur les Arméniens qu’ils deviennent hystériques quand ça ne marche plus.
En 1894-6 le Sultan avait fait plus de 200,000 morts pour calmer les protestations des villageois arméniens harcelés de toutes parts ( État, Bakchich aux fonctionnaires locaux, Rackets des montagnards kurdes...).
Vers le XVè siècle, à la prise de Constantinople par les premiers envahisseurs turco-mongols (dit Ottomans) par le sultan Mehmet II, il y avait 400,000 mongols pour 7 millions de chrétiens...
Aujourd’hui, il reste 40,000 chrétiens à Istanbul pour 80 millions de musulmans « mongols » et Kurdes
Anecdote :
Après la prise de Constantinople, Mehmed II, sultan bisexuel, décida d’enlever les plus beaux jeunes hommes de la noblesse byzantine pour qu’ils fassent partie de son harem. Décrit comme notoirement pédéraste,
il motiva ses troupes avant l’assaut en leur faisant miroiter la beauté
des jeunes hommes et enfants de Constantinople ; après la chute de la
ville, les soldats se livrèrent à de nombreux viols sur des jeunes
garçon. Le Megadux Lucas Notaras, décapité sur l’ordre de Mehmed II avec une partie de sa famille, aurait subi ce sort parce qu’il refusait de livrer son fils de 14 ans à la lubricité du sultan ; selon le byzantiniste
Thierry Ganchou, cette motivation essentiellement sexuelle pour la
remise en otage du fils Notaras (attestée par ailleurs) n’aurait été
avancée et répandue par les chroniqueurs chrétiens que par médisance