Le gouvernement n’a pas besoin d’une religion pour créer le terrorisme à l’échelle nationale.
Celui-ci crée quotidiennement la peur et la désinformation — avec l’aide des médias —, pratiques qui sèment la panique au sein de la population pour mieux la manipuler, la rendre docile, la faire voter « dans le bon sens », acheter tel ou tel produit (masques, gel, tests, vaccins).
De toute manière, pour qu’il soit « conscient » des réalités que le pays a à affronter, il faudrait deux choses essentielles :
*Que la consommation des membres du gouvernement et de la majorité de produits stupéfiants et hallucinogènes soit réduite à néant.
Effectivement, on a jamais eu un pouvoir aussi halluciné et fou. Des gens que rien n’arrête, même pas les lois et encore moins les droits élémentaires des citoyens — sur lesquels ils crachent, qu’ils insultent abondamment et dénigrent en permanence.
Vu le nombre de bévues depuis l’accession au trône de Macron 1er, leurs « dealers » doivent s’en mettre plein les poches. Et encore, vu ce qu’on nous annonce aujourd’hui avec les « couvre-feux » à répétition et autres « mesures préventives » qui ne servent à rien, ils doivent prendre plus d’une substance illicite.
En résumé, le pouvoir macronien porte tous ses pouvoirs à sabrer complètement la société et asseoir une dictature totale (morale, politique, intellectuelle, physique). Impossible donc de pouvoir gérer quoi que ce soit d’autre car ce n’est pas leur objectif.
A ce sujet justement, la notion de « pouvoir démocratique » leur est étrangère parce qu’ils l’exercent selon leur bon vouloir et ce bien au-delà des limites autorisées par le système.
*Que les sujets préoccupants concernant notre pays soient traités et pas qu’en surface.
Comme nous le savons tous, ce genre de thème n’est qu’évoqué en période pré-électorale ou lorsque la cote de popularité d’un parti/d’une personnalité politique est au plus mal.
Aucun n’a envie de traiter ces sujets car c’est une « patate chaude » qu’on refile vite à son voisin — en l’accusant d’être la source de ces mêmes « ennuis » (ex : voter pour Marine le Pen = montée du fascisme).
La politique n’étant qu’un « art » au présent (un présent ma foi très court), résoudre lesdits problèmes n’a en soi pas d’intérêt et représente un suicide politique parce qu’on va forcément « fâcher » des pans d’électorat.
Et puis, en fin de compte, une fois qu’on a obtenu le pouvoir ou l’approbation des masses, sans contrepartie (à savoir un contrôle citoyen méticuleux du politique), à quoi sert de mettre les mains dans la boue ?